Concours d'Eloquence
Gaïa
“Treat people with kindness” (-Harry Styles): Gaïa Mila Clémentine Irrmann, arbore
cette devise comme un mode de vie quotidien, elle essaye de penser aux choses
positives pour ramener cette positivité à elle.
Son enfance débute au sein de notre (chic) capitale le 10 juillet ’07. Elle grandit
donc avec ses deux parents et sa chienne Lilou à Montreuil, puis Bagnolet. C’est la
fille unique de son père et c’est la petite sœur maternelle de Clément, son modèle
depuis toujours.
À Paris elle rencontre sa meilleure amie Maïa en maternelle mais la quitte
malheureusement en 2013 au moment d’emménager dans le Sud. À ce moment là,
la séparation de ses parents éclate.
Ce conflit a été destructeur pour la santé mentale de Gaïa, mais elle cherche
régulièrement à trouver un équilibre sain afin de ne pas se perdre dans cette
relation complexe.
Son signe astrologique étant celui du cancer, elle prouve son côté sensible et
consciencieux en se préoccupant des droits de la femme et des enfants, qui
s’oublient progressivement à notre époque, mais aussi se soucie de la cause du
climat qui se dégrade: elle est écologiste et veut donc sauver le futur de notre
planète à son niveau et en sensibilisant les autres.
Ce qui accompagne ses belles qualités humaines sont quelques faiblesses: son
hypersensibilité et son stress qu’elle apprend à gérer de jour en jour. Malgré ces
épreuves elle reste une femme curieuse qui a une soif d’apprendre. Cette curiosité
l’a menée à faire sa scolarité au lycée de Sainte Catherine mais aussi à commencer
son bac américain.
En dehors de l’éducation, elle aime capturer le monde à travers la photographie
depuis son plus jeune âge. Elle est passionnée par l’idée de transmettre des
émotions à travers ses images.
En plus de tout cela, elle calme son hyperactivité avec le sport, notamment
l’équitation qui, avec les concours et la proximité à l’animal, possède une place
centrale dans sa vie. Cette passion lui permet de se vider la tête et de développer
son courage ainsi que sa force mentale et physique. Grâce à ce sport, elle eu un
violent accident. Malgré cela elle continue à tester ses limites avec cette passion.
Dans la vie de Gaïa, il y a réellement deux moments fondamentaux qui ont fait
évoluer et changer son regard sur le monde et notre société moderne.
D’abord, en dernière année de collège, elle s’est retrouvée seule face au monde et a
dû ainsi développer son optimisme et c’est ce qui forge la personne qu’elle est
aujourd’hui.
Puis, plus récemment elle a passé son BAFA à 16 ans. Cette formation l’a aidée à se
découvrir et à se rendre plus sociable. Elle s’est vraiment sentie à sa place dans cet
environnement en tant que protectrice.
Gaïa a toujours voulu prouver aux autres et surtout à elle-même ses capacités: ce
concours nourrit ce désir de débattre.
D’abord politiquement avec la question du droit à l’avortement qui devient un
sujet clé de nos jours mais aussi en parallèle à ce dernier, le Féminisme qui est
souvent perçu comme de la misandrie, plus qu’une égalité souhaitée entre humains.
Ensuite, avec son hypersensibilité et son empathie profonde, elle aborde aussi le
sujet de la tolérance envers les intolérants qui l’affecte souvent.
Son plus grand rêve est de continuer de découvrir le monde qui l’entoure et donc
de nourrir cette curiosité en elle. Elle souhaite voyager et se perdre à travers son
Kodak, entourée de beaux paysages, pour les figer afin de les transmettre aux yeux
des autres.
MAHTANI Mia